jeudi 6 décembre 2012

L'anneau de l'Atlantide de Juliette Benzoni

Bonjour,

L'activité du blog s'est bien ralentie! Voire même carrément arrêtée, je vous l'accorde. Il faut dire aussi que j'ai arrêté de lire! Et je me demande si cela ne me porte pas préjudice.

Bref, le moral n'est pas au top depuis septembre...

Pourtant, les vacances d'été se sont formidablement bien passées! Avec notamment le très beau baptême de mon fils! :-)

Mais, depuis septembre, on a déménagé, j'ai changé de lieu de travail...Et depuis, mon moral flanche...

Bref, je dois me reprendre! (et je suis en train de le faire, lentement, mais sûrement!)

Pour l'instant, je reprends ce blog avec des micro-articles, c'est toujours mieux que rien!

Donc aujourd'hui, une petite lecture qui détend et ça fait du bien! Avec un côté Hercule Poirot, je vous laisse découvrir la couverture de ce roman que je vous conseille:


A bientôt!

dimanche 24 juin 2012

Les yeux verts - Zanzim / Hubert

J'ai emprunté cette BD Les yeux verts car je connaissais le scénariste Hubert pour la série Miss pas touche que j'avais bien appréciée.

Les tomes 1 et 2 des Yeux verts sont divertissants, intéressants, mais il me manque des détails, des informations, pour bien entrer dans l'intrigue. Les dessins sont originaux. Mais, est-ce le fait d'être un peu fatiguée ces temps-ci? Toutes ces histoires de monstres me donnent un peu la nausée.
399x550 - Yeux verts (Les)  La politesse des monstres400x525 - Miss pas touche  La Vierge du bordel

samedi 23 juin 2012

Dix petites oies blanches - Lola Van Guardia

Bonjour,

En fouinant à la médiathèque, je suis tombée sur ce livre :


J'ai lu rapidement la quatrième de couverture et je m'attendais à un livre de filles, avec des histoires d'amour et des enquêtes policières.
D'ailleurs, c'est exactement ça, un livre de filles, un vrai de vrai. Il n'y a que des filles dans le livre, des femmes! Pas un seul homme! Et les histoires d'amour me direz-vous? Entre filles! Elles sont toutes lesbiennes. Toutes! Quelle coïncidence! L'inspectrice? Lesbienne. La gynéco? Lesbienne. La cuisinière? Lesbienne! Leurs animaux? Non, des animales!!! On ne dit pas un temps de chien, mais un temps de chienne! Un livre de femmes, je vous dit! Ce sont des ouvrières qui retapent la maison où se déroule l'action.
Attention! Un incendie! Vite, appelez les pompières! Ouf, les soldates du feu sont là!!!!

Qu'est-ce que c'est que ce roman où les hommes n'existent pas? On se fout de nous ou quoi? Et toutes ces expressions féminisées!!! Et puis alors, toutes ces femmes viennent d'horizon différents mais comme de par hasard, elles sont toutes homo? Trop crédible!!!

Attendez, je relis le résumé. Qu'est-ce que c'est que ce mot là? Pa...Paro...Parodie!!!! Haaaaaaaa.
Ben voilà, je comprends mieux. Visiblement, l'humour espagnol, je ne le comprends pas tout de suite!

En prenant du recul, en se disant que tout ceci est de l'humour, il est plutôt pas mal ce livre!

Je tiens à préciser que je n'ai rien contre les homos, mais là, c'était juste pas crédible! Pas un seul homme! Même les conducteurs sont des conductrices!

Une intrigue policière qui tient en haleine. Je suis toujours en train de lire le livre mais finalement, je ne le lâche plus.

Mais, rassurez-moi, les passages que je trouve mal écrits, c'est fait exprès aussi?

Voici le lien vers la page de l'éditeur : ici

Ce livre a le mérite de poser le problème de l'intégration des homosexuels dans notre société et de s'interroger également sur la procréation médicalement assistée.

mardi 19 juin 2012

"Parle-moi comme la pluie et laisse-moi écouter" Tennessee Williams

Bonjour,

Cette année, j'ai fait du théâtre amateur et j'ai joué une scène de La ménagerie de verre de Tennessee Williams. D'autres comédiens ont joué des scènes d'Un tramay nommé désir. N'ayant vu que des extraits, j'ai voulu mieux connaître cet auteur et j'ai emprunté quelques unes de ses pièces à la bibliothèque.
La ménagerie de verre

Un tramway nommé Désir

Voici mes impressions.
J'ai commencé par La ménagerie de verre. Cette pièce est autobiographique. Elle raconte l'histoire de Tom (narrateur dans la pièce, il se fait appeler Shakespeare, surnom qui est également donné à Tennessee Williams), sa sœur infirme, Laura, et leur mère Amanda. Ils ont été abandonnés par le père.
J'ai joué le rôle d'Amanda dans la scène où elle apprend que sa fille a laissé tomber les cours de secrétariat depuis 6 semaines car elle est trop émotive.
Dans cette scène, Amanda est tyrannique. Je l'ai jouée en criant, en étant autoritaire voire méchante.
Mais elle peut pourtant être douce et elle aime profondément ses enfants. Le problème de cette mère est qu'elle veut contrôler la vie de ses enfants. Elle a peur pour sa fille et veut absolument qu'elle se marie.
Amanda est finalement attachante.
Nous avions envie de jouer Laura un peu comme une autiste. Notre prof nous a demandé de nuancer. Laura reste indéfinissable pour moi. Elle est enfermée dans son monde. La pièce ne nous dit pas si elle parvient à en sortir.
Dans cette pièce comme dans les autres, j'ai été frappée par la précision des décors donnée dans les didascalies. Je me demande si les pièces ont déjà été montées en respectant strictement les idées de Tennessee Williams. Cela me semble très difficile.

La pièce est suivie de Le paradis sur terre Cette pièce est tragique mais burlesque. Les personnages sont grotesques. Rien que leurs noms donnent envie de rire : Muguette, Lot, Poulet.
Une femme qui semble écervelée, qui a eu la vie dure et qui épouse Lot sans le connaître. Lot, que l'on découvre homosexuel et en fusion totale avec sa défunte mère. Et Poulet, le demi-frère dénigré de tous car il a du sang noir. Poulet, l'homme viril, vulgaire, grossier, proche de Stanley d'Un tramway....

En lisant plusieurs ouvrages d'un même auteur, on remarque des thèmes récurrents. Il y a donc l'homme grossier (le père de Tennessee Williams?), l'homosexualité dépeinte comme répugnante, dégradante, le cas d'hommes dégénérés (en cherchant sur le net, j'ai vu que Tennessee Williams était homosexuel, on imagine comme dans cette Amérique et à cette époque l'homosexualité était bien acceptée...)
Et puis on retrouve la folie et l'internement à l'asile.

Je me demande toujours comment les auteurs font pour penser à de telles choses. Comment une œuvre toute entière peut être aussi morbide...(oui, bon, je n'ai lu que quelques pièces, mais j'imagine que le reste est du même acabit)

Dans Un tramway nommé désir, Blanche ne me semble pas si folle. Elle a seulement vécu des moments difficiles. Et, à cause de son éducation, elle n'ose avouer sa faiblesse, son mal-être, la m**** dans laquelle elle se trouve. Elle ne dit pas qu'elle a besoin d'aide. Et Stanley, l'homme vulgaire, la maltraite. Après ça, hop, l'enfermement de Blanche!!!
Pourtant cette Blanche m'était antipathique au début, me voilà en train de la défendre!
Et Stanley, est-il aussi rustre que cela? Bon, ok, il la viole quand même...Oui, bon, c'est le soir où sa femme (Stella, la sœur de Blanche) est en train d'accoucher. Donc, oui, Stanley est un gros rustre! (Au fait, je ne dévoile rien de l'intrigue, tout est dans les didascalies, dès le début de la pièce)
Et Stella, qui est-elle? Voici là aussi un personnage que j'ai du mal à cerner.

D'autres petites pièces suivent, lugubres, parlant de mort, de folie...

Mais alors, pourquoi est-ce que j'apprécie de lire ces histoires aux ambiances si mornes? Peut-être que cela fait écho en nous, appelle nos côtés les plus sombres.

Bref, même si ça ne m'a pas déplu de lire ces livres, je me lance dans de la chick-litt espagnole. On change de registre!

dimanche 10 juin 2012

Mère française, mère américaine. Parce que Laeti ne lit pas que des livres

Je viens de voir cet article de l'express et je l'ai trouvé très intéressant.

Quand je suis tombée enceinte, puis à la naissance de mon fils, j'ai beaucoup lu. J'ai appris ce qu'était le "maternage proximal" et en voulant être parfaite pour mon enfant, dans le souci de lui apporter le meilleur, j'ai pensé que ce maternage était ce qu'il fallait à tout pris lui apporter. Cependant, je me sentais mal à l'aise, quelque chose clochait. Le cododo, l'allaitement à la demande, etc. Cela ne me correspondait pas vraiment.

L'article de Nathalie Monsaint-Baudry vient d'éclairer ma lanterne.

Voici ce que je comprends de cet article:
La société américaine est dans l'individualisme, la performance. Pour contrecarrer cela (et être parfaite) la mère américaine est fusionnelle avec son enfant. Mais cela ne dure qu'un temps.
A l'inverse, les françaises sont plus dans la fusion, ce qui est donc valorisé, c'est la séparation. La mère française sèvre plus vite son bébé par exemple.

En lisant des livres américains, je me trouvais en décalage avec la culture de ma famille, qui ne comprenait pas où je voulais en venir. Et en décalage avec moi -même.
Mais toutes ces théories nous parviennent et sont de plus en plus valorisées en France.

Maintenant, je dois garder en mémoire que le livre ne détient pas la vérité. Il donne des informations, le point de vue de la personne qui l'a écrit, mais c'est tout.

Et si, pour élever ses enfants, on arrêtait de se poser tant de questions? (Ce serait bien, mais cela me semble utopique!)

samedi 9 juin 2012

Les livres pour élever son enfant!

Après la naissance mon fils, je manquais terriblement de confiance en moi. Je cherchais des réponses partout et c'est naturellement que je me suis tournée vers les livres pour calmer mes angoisses.
Bien entendu, j'ai acheté le fameux Laurence Pernoud




J'élève mon enfant
Mais, dans mon angoisse, je me suis aussi lâchée sur Rufo, avec 3 ouvrages!
Elever son enfantComment aider bébé à bien dormir - Marcel RufoPourquoi bébé pleure ?


Et dans mon désarroi, j'ai investi dans celui-là aussi:

Un sommeil paisible et sans pleurs : Aider en douceur son bébé à dormir toute la nuitCe dernier était intéressant et m'a apporté quelques pistes et du réconfort. Je l'ai trouvé assez logique et il convenait à ma vision des choses : hors de question de laisser pleurer bébé pour qu'il trouve le sommeil, mais pas question non plus de subir un bébé qui ne fait pas ses nuits sans rien faire!
Bon, au final, bébé ne faisait pas ses nuits dans les premiers mois, mais je crois que c'est NORMAL!!! (je l'écrit en gros parce qu'on ne nous le dit pas assez!) Oui, mon fils a dormi sur nous et dans notre lit dans les premiers mois! Oui, il nous a réveillé à 5h du mat' au moins jusqu'à 5 mois, si ce n'est plus! Mais tout cela passe! Tout cela est nor-mal!!! C'était un petit bébé! Oui, nous sommes retournés le voir plusieurs fois dans son lit quand il ne s'endormait pas! Oui, on lui refait un câlin quand il se réveille la nuit!
Et non, nous n'avons pas pratiqué le "on le laisse pleurer 5min, puis 10, puis 15 puis....1h"! Laisser pleurer son bébé 1h! ça va pas non? (Toujours le problème du c cédille majuscule, j'en appelle à vot' bon cœur M'sieur Dame!)

Bref, les Pernoud et Rufo, même s'ils se lisent bien, ne m'ont pas été d'une grande aide. Et puis, je trouve Rufo trop autoritaire, trop directif...Trop "maman reprend le travail à 2 mois et demi", trop "bébé va forcément en crèche" et donc culpabilisant pour celles qui prennent un congé parental. (Enfin, c'est ce que j'ai ressenti, et oui, une grande majorité des femmes doit reprendre le travail tôt).

Voici maintenant un ouvrage qui vient de me rassurer. En effet, bébé est un peu différent ces derniers temps. Et donc, dès que je me pose des questions, je cherche des réponses dans des livres (sur internet aussi, j'avoue, mais c'est plus anxiogène!)
Et j'ai ouvert Points Forts de T.Berry Brazelton, pédiatre américain
Points forts
Et là, Paf!!! Tous les comportements un peu différents de mon loulou, je les retrouve au chapitre de son âge! C'est juste une période de son développement. Alors, pour 7€50, je trouve que cet investissement est le meilleur que j'ai fait en ce qui concerne les livres de puériculture!

Et puis, avec le recul, je me rend compte qu'il faut arrêter de vouloir avoir un enfant parfait, comme dans les livres. Chacun avance à son rythme, avec son développement.
Avant sa naissance, on me disait "Faites vous confiance". ça a été dur, mais aujourd'hui, je comprends que c'est vrai et qu'une maman comprend les besoins de ses enfants.

En bonus, cet article qui exprime bien ma pensée et me rassure quant à "l'objet-livre" (oui, chuis instit', j'utilise du jargon jargonnant)

mercredi 30 mai 2012

Réponse à LMO : Bonne à rien ou surdouée?

Bonjour,

Depuis un moment, je voulais répondre à ce billet (Bonne à rien ou surdouée) de ma copine LMO.

Bon, j'aurais voulu faire quelque chose de structuré, construit, exprimer toutes mes idées, etc...Mais, je n'en ai pas vraiment le temps. Alors, si je veux que ce blog vive un peu, tant pis, je préfère écrire quelque chose de moins "fini" mais écrire quelque chose quand même!

Bref, sur l'intelligence, je n'ai pas eu les problèmes de LMO. Enfant, on ne cessait de me répéter que j'étais intelligente et j'y croyais. J'ai sauté une classe (la grande section de maternelle, attention!!! Ceci dit, quand je vois ce qu'on y fait -je suis instit- je me rends compte que c'est une classe importante!).
Je faisais mes devoirs sans problème, je m'inventais des histoires avec les exercices de l'ORTH (ce bouquin d'exo: a/à, et/est, etc.)
Cependant, je n'étais jamais première, toujours deuxième! Et c'était toujours la même qui était devant moi! On m'appelait Poulidor!
Mais, travailler ne me demandait pas d'effort particulier.
Il en a été de même au collège et au lycée (je n'ai presque pas révisé le bac, et j'ai eu chaud quand même!!! (Mais je l'ai eu du premier coup)

ça s'est corsé à la fac ( Heu, je fais un hors sujet, mais si quelqu'un sait faire le C cédille majuscule qu'il me prévienne!)
J'ai atteint mes limites dans mes études. Ces limites n'étaient pas QUE intellectuelles, elles étaient là aussi car j'avais PEUR de rater, je me sentais nulle, incapable. Bon, j'ai appris à gérer tout ça et je suis heureuse d'avoir cravaché comme une folle pour réussir le concours de prof des écoles après être passée par un DEA et un DESS (oui, j'ai un parcours original, mais je me rend compte que c'est le cas de plus de monde que je croyais)

Professionnellement, j'ai eu des difficultés à me sentir à l'aise au travail. Ma première année d'enseignement, j'avais le sentiment d'être un imposteur! De ne pas être à la hauteur (je plaçais la barre trop haut, forcément que je n'étais pas à la hauteur). J'avais travaillé dans d'autres domaines avant et là aussi, je me sentais mal.

J'ai pris une année de disponibilité et pour aider mon conjoint qui nous entretenait, j'ai fait des petits boulots. Et même dans ceux-ci, je me sentais mal! Mon mal-être ne partait pas (il durait depuis un moment, depuis l'enfance, hein! Je n'ai pas tout raconté!)
Ma mère est tombée sur une émission du Magazine de la Santé sur France 5. Où l'on parlait des surdoués. (Oui, je vais vous parler d'un livre, deux même!!! Parce que c'est le thème de ce blog, non?)

Cette émission nous à interpellées, et je me suis intéressée à ce thème, car je m'y reconnaissais.
J'ai acheté l'ouvrage de Jeanne Siaud-Facchin:




Trop intelligent pour être heureux ? L'adulte surdouéJe me suis reconnue dans de nombreuses choses :
Une grande sensibilité et intuition. Le fait de remarquer des détails et du coup d'être envahie d'informations. Malheureusement, je n'ai pas lu ce livre depuis longtemps et je ne peux pas le décrire beaucoup plus. Mais si je me souviens bien, être surdoué, c'est avoir une forme d'intelligence différente. C'est avoir plus de neurones qui se connectent, analyser plus vite, voir les choses différemment.
Tout cela me correspondait! (Sauf les neurones, hein, je n'en sais rien! Mais on m'a déjà dit que je me faisais des "nœuds au cerveau")
Quel soulagement! Tout ceci allait expliquer mon mal-être, ma différence! Je suis donc allée au centre de Jeanne Siaud-Facchin herself! Je ne l'ai d'ailleurs pas vue. Et je commençais à me sentir mal. Quelle prétention! Faire un test de QI se prétendre surdouée!!!!
Bon d'ailleurs, je ne le suis pas! 112 au test de QI, vous n'êtes pas surdouée, merci, au revoir. (Et quelle honte au passage, d'avoir oser penser que j'étais surdouée!!!)

Ha, mais, et mon mal-être alors? Dépression? Trouble anxieux? Oui, bon, un peu de tout ça. Mais l'ouvrage dont je vais parler maintenant a éclairé mes angoisses sous un autre angle et a changé mon regard sur moi!
Depuis la naissance de mon fils, je me sentais hypersensible! Un rien me faisait réagir, pleurer (oui, bon, ça avait commencé pendant la grossesse, quand je pleurais devant les pub Nutella ou Blédina - mais y a des enfants tous mignooooons) Allons, Laeti, sois franche, ça avait même commencé avant! Dès l'enfance, je pleurais comme une madeleine à l'école! Ma mère disait même qu'elle voulait me marier avec "M. Kleenex", tellement j'usais de mouchoirs!

En tout cas, c'est après la naissance de mon fils que j'ai commencé à utiliser ce terme : Hypersensible. J'ai donc fait des recherche sur le net avec ce mot-clé. Et j'ai trouvé ce livre:
Ces gens qui ont peur d'avoir peur : Mieux comprendre l'hypersensibilitéDedans, il y a un test. Et oui, je suis bien hypersensible! Les caractéristiques dans lesquelles je m'étais reconnue concernant les surdoués étaient communes aux hypersensibles! Je ne suis pas surdouée, mais hypersensible!
Quelqu'un d'hypersensible remarque plus de choses que quelqu'un d'autre. L'hypersensibilité se remarque aussi physiquement! Les odeurs, les sons, peuvent nous agresser plus facilement. L'hyperstimulation que nous vivons chaque jour nous fatigue plus, nous avons donc besoin de plus de repos.
Comme pour le livre précédent,  j'aurais aimé en parler plus en détail, mais je manque de temps...Je m'arrêterai donc là.

Ce dernier ouvrage m'a tout de même beaucoup apporté. Quand je panique parce qu'une collègue ou un parent m'a dit quelque chose, je prends du recul en me souvenant que j'étais hypersensible.

Bref, entre cette lecture, l'acupuncture et l'homéopathie, je me porte beaucoup mieux qu'avec des heures de psychothérapie et des anti-dépresseurs...

Si mon expérience peut servir à quelqu'un!



vendredi 18 mai 2012

Moi vivant, vous n'aurez jamais de pauses

Hier, je suis allée chez Cultura. Jour férié, mauvais temps, petit bébé grognon (j'ai un petit garçon de presque 1 an), il fallait sortir!!! J'avais justement du petit matériel de déco à acheter, Cultura est ouvert, nous y voici!
On promène, on flâne dans les rayons, petit bébé est content, il y a plein de choses à voir. Moi, j'ai un peu honte, car je fais travailler des gens un jour férié... Et puis, je pense à la BD de Leslie Plée : J'aime le style de Leslie Plée, sur humour, son auto-dérision, la façon dont elle nous fait passer ses émotions. J'aime ce que ça raconte : comment on peut devenir dingue pour un boulot. J'aime l'écho que cela provoque en moi.

Moi vivant, vous n'aurez jamais de pauses ou comment j'ai cru devenir libraire

mardi 15 mai 2012

Précis de médecine chinoise Chapitre 2

Tout est lié.
Ce n'est pas écrit dans le livre, mais c'est une phrase que j'affectionne particulièrement et qui selon moi résume bien ce chapitre

L'homme en tant que globalité. La médecine chinoise considère le corps dans TOUT son ensemble. Si on a mal quelque part, cela peut provenir d'un autre endroit du corps. De plus l'esprit est également pris en compte, contrairement à ce qui se passe en Occident. C'est pour cela que dans la médecine chinoise, les autopsies à des fins de recherches ne sont pas prédominantes : il faut prendre en compte le système dans tout son ensemble, ce que ne permet pas la recherche sur des corps non vivant.

Mais, si tout est lié, il faut aussi considérer l'homme dans son environnement. Chacun joue un rôle sur l'autre.

D'ailleurs, le temps a son importance, les différents cycles (annuel, mensuel ou quotidien) impactent notre santé.

De plus, les facteurs psychologiques influencent notre santé, et vice-versa.

Je crois que c'est le "vice-versa" qui est important. On voit vraiment ici l'image du ying et du yang qui se nourrissent l'un l'autre.

J'en reviens à ma phrase de départ : Tout est lié

lundi 14 mai 2012

Précis de médecine chinoise d'Eric Marié

Depuis quelques temps, je  vais chez un acupuncteur pour gérer mon stress. Il a eu la gentillesse de me prêter ce livre, afin de mieux comprendre la médecine chinoise. Je n'en suis qu'au début, mais c'est un ouvrage qui me fait beaucoup de bien. En le lisant, je me sens apaisée! Et pourtant, je n'en suis qu'à l'histoire de la médecine chinoise!

Ce que je retiens pour l'instant : la médecine chinoise n'est pas une médecine douce ou parallèle, c'est juste une autre forme de médecine, complète, qui s'est développée de son côté pendant que la médecine occidentale se développait du sien. Elle est donc différente de certaines médecine douce telles que l'ostéopathie (technique que j'aime beaucoup d'ailleurs) ou l'homéopathie car la médecine chinoise couvre plus d'un champ (médecine interne / externe -même si je n'ai pas bien saisi ce que cela signifiait!!! - gynécologie, obstétrique, chirurgie, etc...)

La médecine chinoise comprend différents aspects : l'acupuncture, la diététique, la pharmacopée (les médicaments, faits à base plantes), les massages et l'entretien physique (tai-chi, qi-gong)

Le chapitre 1 retrace l'histoire de la médecine chinoise.

J'ai hâte de lire la suite

Bonjour!

Aujourd'hui je me lance dans la grande aventure blogguesque!

Je pourrais parler de beaucoup de choses dans un blog, mais je vais finalement me concentrer sur les livres que je lis! Bon, je parlerai parfois aussi de sites internet, d'autres blogs ou peut-être de choses plus intimes...On verra.

Depuis quelques années, je lis tous les soirs avant de m'endormir. Cela me permet d'arrêter la machine (mon cerveau) et de pouvoir trouver le sommeil.

J'en profite pour lire sur les sujets qui m’intéressent et ceux-ci sont divers et variés! Il y a les classiques que je me promets de lire depuis longtemps, les livres de développement personnel, de la chick-lit (trucs de filles), et bien d'autres!

Le but pour moi est de garder une mémoire de mes lectures et aussi de me permettre de faire des liens entre les différents ouvrages!

A bientôt!